Si on demande aux touristes occidentaux la raison pour laquelle ils choisissent le Kenya, beaucoup répondraient que c’est pour découvrir ses étendues sauvages. Mais le Kenya est loin de se cantonner aux safaris dans les réserves nationales, ni aux longues journées à traquer les animaux à prendre en photo.
En somme, ce pays,emblème du continent africain, concentre à lui seul des coins enchanteurs, promettant une évasion sans égal, car au-delà de la nature sauvage, Kenya aaussi Nairobi. La capitale rayonne par sa splendeur irréprochable, constituant le premier critèrequi pousse les globe-trotters à s’y attarder.
Découvrir quelques joyaux de Nairobi
Nairobi,situé au sud du pays, mérite une attention particulière lors des circuits Kenya. Nairobi est plus qu’une capitale, c’est en même temps la plus grande ville du pays, tout en étant son plus grand centre commercial. Doté d’un irrésistible pouvoir de séduction, il fait tomber sous ses charmes des visiteurs en quête d’exotisme. Tous profiteront d’un large éventail de sites attractifs comme Bomas of Kenya. Il s’agit d’un centre culturel qui se visite en famille, puisqu’il dispose d’un parc récréatif pour les enfants et d’une salle et des terrains de sport pour les grands.
En plus, le domaine abrite une aire de pique-nique, un restaurant, un terrain de camping, sans oublier le parking sécurisé, pouvant accueillir près de 3 000 voitures. Bomas of Kenya propose également aux aventuriers des spectacles de danses traditionnelles, réalisés par une cinquantaine de musiciens et de danseurs. Mis à part cela, le centre expose en permanence des photos grandeur réelle, représentant les habitations de douze peuplades différentes. Pour cela, les bourlingueurs ont tout le loisir d’admirer des huttes bâties à l’aide de boue et de chaume.
Arpenter une citée agréable surnommée « ville verte ensoleillée »
Nairobi est surnommé « ville verte ensoleillée » à cause de ses avenues bordées d’arbres feuillus et ses parcs en périphérie, si on se réfère au Parc national de Nairobi. Situé à 8 km du centre-ville, ce jardin édénique respire le calme en semaine, mais il est envahi de milliers d’estivants en week-end. Créé en 1946, ce parc s’étend sur 117 km2 et affiche une beauté ensorcelante à couper le souffle. Clos sur trois côtés, la partie sud du parc est laissée délibérément ouverte pour faciliter la migration des animaux comme les gnous et les zèbres. Dans l’enceinte du parc, les voyageurs observeront avec plaisir des tortues, des hippopotames, des antilopes, des rhinocéros noirs, des éléphants ou des lions, sans oublier les espèces ornithologiques, si on ne cite que le vautour de Rüppell.
Après, les excursionnistes s’aventureront du côté de l’Animal Orphanage, situé aux alentours du parc. C’est une sorte de refuge qui accueille et soigne les jeunes animaux. Dans ce « refuge de la nature », les amoureux de la faune contempleront leurs animaux préférés, comprenant des phacochères, des singes, des léopards, des chacals, des hyènes, des guépards, des chats serval ou des babouins. Par ailleurs, ils y verront des oiseaux divers : pintades, autruches, perroquets ou grues couronnées. Bref, blessé, malade ou orphelin, le centre est grand ouvert à tout animal en situation assez complexe.a